Extraits de carnets de bord
Une invitation à voyager avec moi
Holà, moi c’est Margaux, une nomade du cœur qui a laissé derrière elle un CDI et un appart pour un sac à dos et une vie rythmée par le mouvement et les rencontres. Pendant 10 ans, j’ai accompagné des âmes du monde entier comme éducatrice spécialisée, mais l’appel de l’horizon était plus fort. Ce n’était pas sans peur – le mal de mer m’a secouée, et les doutes encore plus ! Pourtant, sur le chemin j’ai trouvé ma place : celle d’une enfant du monde qui apprend à danser avec l’inconnu. Ces carnets sont des bribes de mes voyages – des instants d’émerveillement, de doutes, et de liberté gagnée pas à pas.
Ici, je partage avec toi les odeurs, les goûts, les frissons du voyage, pour ouvrir d’autres possibles et te rappeler que tu n’es pas seul.e. Avec Etica Nomade, j'ai envie d'accompagner les personnes qui comme toi, comme nous, rêvent d’une vie plus alignée, hors des cases qui étouffent, pour ne plus se sentir perdu.e ou isolé.e. Pas de recette miracle, juste des outils concrets – des questions guidées, des exercices pour mieux te connaître et des eBooks pratiques. Tu pourras aussi rejoindre une communauté vibrante de voyageurs, nomades et expats, un espace pour t’inspirer et tisser des liens. Chaque chemin commence par un pas, et je t’offre un premier rendez-vous pour explorer le tien, ensemble, dans un espace personnalisé si tu le souhaites.
En attendant, plonge dans ces récits pour sentir le vent du voyage et te connecter à cette liberté qui t’appelle. Prêt.e à voyager un peu ensemble ?
Extraits de carnets de bord
Une invitation à voyager avec moi
Holà, moi c’est Margaux, une nomade du cœur qui a laissé derrière elle un CDI et un appart pour un sac à dos et une vie rythmée par le mouvement et les rencontres. Pendant 10 ans, j’ai accompagné des âmes du monde entier comme éducatrice spécialisée, mais l’appel de l’horizon était plus fort. Ce n’était pas sans peur – le mal de mer m’a secouée, et les doutes encore plus ! Pourtant, sur le chemin j’ai trouvé ma place : celle d’une enfant du monde qui apprend à danser avec l’inconnu. Ces carnets sont des bribes de mes voyages – des instants d’émerveillement, de doutes, et de liberté gagnée pas à pas.
Ici, je partage avec toi les odeurs, les goûts, les frissons du voyage, pour ouvrir d’autres possibles et te rappeler que tu n’es pas seul.e. Avec Etica Nomade, j'ai envie d'accompagner les personnes qui comme toi, comme nous, rêvent d’une vie plus alignée, hors des cases qui étouffent, pour ne plus se sentir perdu.e ou isolé.e. Pas de recette miracle, juste des outils concrets – des questions guidées, des exercices pour mieux te connaître et des eBooks pratiques. Tu pourras aussi rejoindre une communauté vibrante de voyageurs, nomades et expats, un espace pour t’inspirer et tisser des liens. Chaque chemin commence par un pas, et je t’offre un premier rendez-vous pour explorer le tien, ensemble, dans un espace personnalisé si tu le souhaites.
En attendant, plonge dans ces récits pour sentir le vent du voyage et te connecter à cette liberté qui t’appelle. Prêt.e à voyager un peu ensemble ?

Le temps est relatif.
“Dîner à 7h”, il disait… À 7h52, toujours rien. Eh oui mais c’est l’heure égyptienne… Et en même temps, je n’ai pas de raison de stresser, juste à profiter de ce lieu merveilleux dans lequel je suis.
Au Maroc, on m’a appris : “Si t’as pas le temps, on ne fait pas, sinon tu ne va pas profiter.”
Et si le temps n’était qu’une histoire qu’on se raconte ? On nous conditionne à courir après les horaires, à stresser pour un train ou un avion, à prendre des pauses chronométrées,…
Et d’ailleurs, le saviez-vous ? Au 19e siècle, l’invention des chemins de fer impose des horaires précis, bouleversant les rythmes naturels. Les premiers cas de “stress moderne” (anxiété, troubles liés à la ponctualité) sont documentés à cette époque, notamment avec la nécessité de synchroniser les horloges pour les trains. Le stress, tel qu’on le connaît, explose donc avec l’invention du train et ses horaires stricts à respecter. Un phénomène ensuite amplifié par l’industrialisation.
Mais parfois il faut apprendre à lâcher prise. Alors si on apprenait à juste apprécier l’instant, sans montre et sans stress ?

Nomad, No-made, No-mad
Nomad-e : Elle parcourt le monde, sac au dos, cœur ouvert.
No-Mad : Non, elle n’est pas folle ! Le voyage est sa thérapie, son souffle, sa liberté.
No-Made : Eh non, elle ne rentre pas dans les cases de la société… et pourtant, elle est heureuse !
Être nomade, pour moi c’est un peu tout ça à la fois. Et toi t’es Nomad, No-Mad, ou No-Made, ou les trois ?

Eternelle insatisfaite
On m’a souvent nommée : “Éternelle insatisfaite.” Pendant longtemps, j’y ai cru. Pourtant, je m’émerveille d’une libellule qui danse, du doux son des vagues, d’un caillou aux formes uniques. Je m’apaise en contemplant les poissons dans l’eau, je savoure chaque nouvelle découverte culinaire, le moindre nouveau lieu aride ou humide, riche ou pauvre, des humains dont je croise la route, des animaux qui passent par ici... Oui, je déménage souvent, depuis toujours. Mais n’est-ce pas l’essence de la vie que d’être en perpétuel mouvement ?
Alors éternelle insatisfaction… propre de la nature humaine ou grande illusion ?

La Mashrabiya
Gravir les marches,
Monter dans la tour d’ivoire des femmes,
Cette femme en burka me prend la main,
Me guide.
Ses yeux me sourient.
On ne parle pas la meme langue,
Mais celle du sourire ne trompe pas.
Elle est universelle.
Ici c’est l’espace des femmes.
Heureuses d’être réunies,
Elles se passent les enfants,
Les cajolent.
Autour de la mariée,
Elles se câlinent et se complimentent.
Joie de l’union.
Elles observent à travers les rainures de la persienne,
La mashrabiya,
Les hommes en bas,
Chuchotent, rient, montrent du doigt.
D’en bas on ne les voit pas,
Elles peuvent observer en toute sérénité.

Le temps est relatif.
“Dîner à 7h”, il disait… À 7h52, toujours rien. Eh oui mais c’est l’heure égyptienne… Et en même temps, je n’ai pas de raison de stresser, juste à profiter de ce lieu merveilleux dans lequel je suis.
Au Maroc, on m’a appris : “Si t’as pas le temps, on ne fait pas, sinon tu ne va pas profiter.”
Et si le temps n’était qu’une histoire qu’on se raconte ? On nous conditionne à courir après les horaires, à stresser pour un train ou un avion, à prendre des pauses chronométrées,…
Et d’ailleurs, le saviez-vous ? Au 19e siècle, l’invention des chemins de fer impose des horaires précis, bouleversant les rythmes naturels. Les premiers cas de “stress moderne” (anxiété, troubles liés à la ponctualité) sont documentés à cette époque, notamment avec la nécessité de synchroniser les horloges pour les trains. Le stress, tel qu’on le connaît, explose donc avec l’invention du train et ses horaires stricts à respecter. Un phénomène ensuite amplifié par l’industrialisation.
Mais parfois il faut apprendre à lâcher prise. Alors si on apprenait à juste apprécier l’instant, sans montre et sans stress ?

Nomad, No-made, No-mad
Nomad-e : Elle parcourt le monde, sac au dos, cœur ouvert.
No-Mad : Non, elle n’est pas folle ! Le voyage est sa thérapie, son souffle, sa liberté.
No-Made : Eh non, elle ne rentre pas dans les cases de la société… et pourtant, elle est heureuse !
Être nomade, pour moi c’est un peu tout ça à la fois. Et toi t’es Nomad, No-Mad, ou No-Made, ou les trois ?

Eternelle insatisfaite
On m’a souvent nommée : “Éternelle insatisfaite.” Pendant longtemps, j’y ai cru. Pourtant, je m’émerveille d’une libellule qui danse, du doux son des vagues, d’un caillou aux formes uniques. Je m’apaise en contemplant les poissons dans l’eau, je savoure chaque nouvelle découverte culinaire, le moindre nouveau lieu aride ou humide, riche ou pauvre, des humains dont je croise la route, des animaux qui passent par ici... Oui, je déménage souvent, depuis toujours. Mais n’est-ce pas l’essence de la vie que d’être en perpétuel mouvement ?
Alors éternelle insatisfaction… propre de la nature humaine ou grande illusion ?

La Mashrabiya
Gravir les marches,
Monter dans la tour d’ivoire des femmes,
Cette femme en burka me prend la main,
Me guide.
Ses yeux me sourient.
On ne parle pas la meme langue,
Mais celle du sourire ne trompe pas.
Elle est universelle.
Ici c’est l’espace des femmes.
Heureuses d’être réunies,
Elles se passent les enfants,
Les cajolent.
Autour de la mariée,
Elles se câlinent et se complimentent.
Joie de l’union.
Elles observent à travers les rainures de la persienne,
La mashrabiya,
Les hommes en bas,
Chuchotent, rient, montrent du doigt.
D’en bas on ne les voit pas,
Elles peuvent observer en toute sérénité.